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Andrea a de nouveau obtenu le rôle principal pour un court-métrage : celui de Donna.
Résumé de l'histoire : Pictures est un film dramatique dont le sujet principal est le syndrome de Munchausen: la personne atteinte de ce syndrome s'invente des maladies pour attirer l'attention sur elle. Ce film a pour but de montrer au public les difficultés à cerner et à gérer ce syndrome notamment lorsqu'il s'attaque aux enfants. Le film est axé sur le personnage de Donna qui est interrogée par un inspecteur de police, Matthew, dans une salle d'hôpital. Au fur et à mesure que l'interrogatoire progresse, on se rend compte du pouvoir psychologique de cette maladie infantile. La fin du court-métrage est d'ailleurs très étonnante. 
Andrea a obtenu un second rôle dans ce thriller, celui de Lily.
Voici ce qu'elle dit du film : "J'ai adoré le script. Je l'ai apprit en un clin d'oeil et me suis immédiatement imprégnée du personnage. C'est un petit rôle certes, et il n'y a pas beaucoup de dialogue. Mais je m'en fiche : le plus important c'est le mystére qui émane de ce personnage." A chaque rendez-vous avec le réalisateur, le rôle prenait de plus en plus d'importance : "La première fois que j'ai rencontré Mahesh, je l'ai tout de suite apprécié. Je ne savais pas qu'il avait récemment perdu sa mère. Nos rendez-vous étaient très agréables, mais j'avais remarqué depuis un moment qu'il ne me regardait pas dans les yeux quand il parlait. J'essaie toujours de regarder les gens dans les yeux quand je parle, ça me faisait donc une drôle d'impression. Cependant on a continué à parler de mon rôle, et à chaque nouvelle ébauche le rôle prenait de l'ampleur." The Broken Thread qui est un thriller psychologique, comporte des scénes aux aspects supernaturels. Andrea apprécie beaucoup ce genre de scénes : "C'est ce qui m'a vraiment fait plonger dans le film. Je suis fascinée par le présent, ce qu'il y a après la vie et ce qui se passe au milieu. Il y a aussi la fatalité et le destin; tout cela m'intrigue. La morale de l'histoire est très profonde - on ne peut pas arrêter la maladie, ou la peine qu'elle fait -. Il n'est pas facile de l'éviter, et il faut faire avec; il y aura toujours un moment où le temps nous sera compté. C'est pour tout le monde pareil." Concernant la discussion personnelle entamée avec Mahesh : "Comme je l'ai dit avant, j'ai rencontré Mahesh alors que sa mére était morte depuis un mois. Alors j'ai découvert pourquoi il ne me regardait pas dans les yeux. Je sais, par expérience personnelle, à quoi ressemble la vie lorsque qu'on vient de perdre sa mère; les choses ont l'air si floues. Je lui ait donc parlé de mon cas et l'étincelle s'est allumée. Je n'avais pas besoin de discuter de tout un tas de choses sur mon rôle car je l'avais très bien compris, mais j'y ai pensé, j'ai pensé à sa mère, j'ai vu cet homme avec son script sous le bras, et son visage triste. Depuis la mort de ma mère, j'ai l'impression d'âtre bénnie, qu'on me fait pleins de bénédictions, et je me sens couvée. Et je me suis dit en moi-même, au risque de passer pour une lunatique, ou de ne jamais le revoir, qu'il fallait que je lui avoue une chose : "Je crois très fort en ce que tu fais, et ce film est à toi, il te passionne - je pense vraiment qu'il sera bénni, tu seras bénni par ta mère." Et là, il m'a regardé. Dès cet instant, j'ai su que je devais faire ce film, et c'est comme si nos vies s'étaient connectées." Résumé de l'histoire : Ram, un homme d'affaires londonnien d'origine anglaise et indienne, est la victime de violents et terrifiants cauchemars à propos d'une femme masquée. Ca le tourmente constamment. Jenny, sa femme anglaise, s'inquiète pour sa santé mentale et tente de protéger leur jeune fils adopté, Sammy, des pensées de terreur de son mari...
Comment avez-vous été impliquée dans le projet "The Bridge" ? Mon agent à Londres chez ICM m'a fait passé le scénario de The Bridge. Je l'ai lu et je l'ai tout de suite adoré. Ensuite, j'ai rencontré Richard Raymond et les choses se sont mises en route naturellement. Pourquoi choisir de tourner dans un court-métrage après avoir eu un premier rôle dans "The Boys & Girl from County Clare" ? Parce que j'ai adoré l'histoire. J'ai simplement écouté mon instinct. Je savais qu'il fallait que je le fasse. Le fait que ce soit un court-métrage ou bien un long-métrage, qu'il y ait un petit ou un gros budget, tout cela n'a que peu d'importance pour moi. Cela ne compte pas. La seule chose qui importe est l'histoire et les émotions qu'elle me procure. Dans la musique, je dois tout contrôler parce que c'est "moi". Si je raconte une histoire, c'est mon histoire. Quand je joue, c'est un véritable exutoire parce que ce n'est pas "moi". C'est l'histoire de quelqu'un d'autre. Je suis un autre personnage. Je dois simplement l'incarner avec sincérité. Dans la musique, il faut faire attention à la qualité des clips vidéo, à choisir les bonnes émissions de télévision et à encore plein d'autres choses. Mais pour en revenir au film, je savais simplement que c'était un projet fantastique. Comment avez-vous appréhendé le rôle de Mary ? Je me suis préparée pour ce rôle simplement en me plongeant dedans. J'ai essayé de lui créer une personnalité. Tout ceci est une tentative pour elle de se racheter parce qu'elle s'en veut. Ce que traverse Mary ressemble plus ou moins à quelque chose que nous avons tous traversé dans notre vie à un moment ou à un autre. Nous avons tous vécu des choses, nous avons tous un vécu qui parfois nous dépasse et nous nous sentons tous coupable pour certaines choses. C'est vraiment un rôle très émotionnel. Avez-vous beaucoup répété avec Richard Raymond ? Pas vraiment. Nous avons juste fait quelques lectures. C'était très spontané. Tout s'est fait naturellement. Combien de jours de tournage avez-vous eu ? Andrea Corr : Peut-être trois ou quatre. Est-ce que cela n'a pas été bizarre de travailler sans Leonard Fenton sur le plateau ? Richard avait une idée précise du résultat qu'il souhaitait voir à l'image avec notamment la caméra très proche de nos visages. La caméra est tellement proche qu'à l'image, on a le sentiment que nous regardons l'autre dans les yeux. Si Leonard Fenton avait été présent, derrière la caméra, je ne l'aurais pas vu. Mais c'était un vrai défi. Résumé de l'histoire : Mary, une célèbre psychologue, a abandonné son poste après le suicide de l'un des patients. Une nuit, elle croise le chemin de Simon, un vieil homme dévasté par la mort de sa femme. Bouleversée par leur échange téléphonique, elle cherche à le retrouver... >> Voir le film dans son intégralité via YouTube.
Andrea joue le rôle d'Anne Bradley, une joueuse de violon.
Résumé de l'histoire : A la fin des années 1960, dans un village irlandais, une compétition de musique traditionnelle est le théâtre d'un affrontement entre deux frères qui ne se sont pas parlés depuis plus de vingt ans, à cause d'une vieille histoire de rivalité amoureuse.
Andrea n'a qu'un rôle de figurante dans cette grande comédie musicale.
On la voit allongée aux côtés de Juan Peron, le président argentin et époux d'Eva. Résumé de l'histoire : Eva Duarte est ambitieuse et rêve de conquérir Buenos Aires, elle part avec son amant Agustín Magaldi vers la capitale et fini par sa détermination à obtenir une place de rêve au cinéma, elle rencontre le président Juan Peron lors d'une soirée et devient finalement la Première dame d'Argentine, Eva Peron est maintenant au cœur d'une vie opulente, le peuple fini par s'indigner de sa démesure tandis que l'aristocratie refuse son ascension. Eva, à 33 ans, est gravement malade et un soir elle s'effondre lors d'une cérémonie en son honneur... |
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